Soixante-quinze mille loups-garous
enragés !
Voilà ce qui attend Betsy lorsqu’elle
ramène à sa meute le corps de son amie Anthonia. Celle-ci est morte sous ses
ordres et Betsy, rongée par la culpabilité, ignore quel accueil réserve les
loups. Mais alors que Sainclair et elle essaient de faire bonne figure auprès
de leurs hôtes, des messages les alertent du comportement étrange de sa demi-sœur.
La fille du diable révèle son véritable visage… et se prépare à leur faire
vivre un enfer.
Un
huitième tome complètement déjanté. Il n’y a pas d’autres mots pour le décrire.
La
trame de cette histoire est rocambolesque, à la limite du supportable pour les
nerfs.
Et
pour une fois, ce n’est pas tant Betsy qui provoque cette situation que sa sœur.
Elle a littéralement pété un câble dans le genre « éradication du mal »
avec des fanatiques et tout et tout. Et ce n’est pas Marc qui va arranger les
choses. Dans sa volonté de bien faire, il n’a pas compté sur la « stupidité »
de Betsy, incapable de lire les messages en langage SMS. C’est vraiment drôle
parce que moi-même j’ai eu beaucoup de mal parfois à lire. N’étant pas du tout
adepte de ces raccourcis incompréhensibles. Mais bon, j’ai quand même trouvé
son comportement légèrement exagéré et on comprend tout de même aisément l’essentiel.
C’est pourquoi les choses s’enveniment alors qu’il n’y aurait pas eu lieu d’être.
Après évidemment, ça n’aurait pas tenu tout un livre sinon mais bon, je trouve
qu’il y a un peu trop d’exagération pour que ce soit vraiment intéressant au
final. Néanmoins, cela reste du Queen Betsy, apte à me faire passer un bon
moment de détente et là, ce roman rempli parfaitement son rôle. Quoique l’intérêt
fut moindre pour ces aventures-ci par rapport à précédemment. Les problèmes
avec les loups-garous ne m’ont pas paru essentiels et on n’apprend pas spécialement
plus sur eux.
Bref,
un bon tome quoique légèrement en-dessous des autres.
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