Les policiers du monde entier classent les meurtriers sur une échelle de 1 à 25, selon leur dangerosité... Ce que personne ne sait, c'est qu'un tueur échappe à cette classification.
Sa cible : n'importe qui
Son mode opératoire : n'importe lequel
Son surnom : Sqweegel
Sa classification : NIVEAU 26
Seul Dark, ancien agent fédéral peut l'arrêter. Depuis que le monstre a massacré sa famille, il a quitté le métier, se jurant de ne plus mettre les pieds en enfer. Mais bientôt, il n'aura plus le choix.
Aïe
aïe aïe mes aïeux, qu’est ce que j’ai frissonné avec ce thriller.
Vraiment
le style angoissant et un peu glauque sur les bords que j’aime tant ^^.
D’ailleurs,
aussitôt fini, je me suis ruée à Bruxelles pour acheter le tome 2.
Malheureusement, je n’ai pas trouvé le troisième mais ce n’est que partie
remise.
Alors,
il faut quand même que je vous dise que je suis une grande fan de la série « Les
Experts » depuis le tout début de sa diffusion (pas ceux de Miami ni
Manhattan hein, juste La Vegas ;-) ). Grissom, Warrick, Nick, … Je les
adore et je ne ratais pas un seul épisode.
Bref,
quelques années plus tard quand j’ai vu qu’Anthony E. Zuiker publiait un livre
où les criminels étaient classés selon leur dangerosité et qu’un tueur en série
encore plus dangereux sévissait, mon intérêt à tout de suite été piqué.
Dès
lors, je n’ai cessé de le chercher d’occasion jusqu’à une brocante, il y a 2
mois.
Parlons
donc un peu de mon ressenti.
Comme
je le disais, j’ai adoré. L’histoire d’abord, où un homme arrive à se fondre
littéralement dans le décor pour répandre le mal autour de lui. Un psychopathe
comme personne n’aimerait en rencontrer. Vicieux, patient, sadique, un fou
furieux sans conscience qui fait vraiment peur. Contrairement à ce qu’en dit le
résumé, il fait une fixation maladive sur un ancien flic. Cet acharnement sur
certains personnages est tout simplement parfait à souhait.
Après,
peut-être que certaines ficelles bien connues sont tirées mais cela reste
captivant et angoissant selon moi.
De
même que l’ambiance froide de part l’esprit calculateur de Sqweegel et de l’enquête
méticuleuse qui est faite m’a mise mal à l’aise à plusieurs reprises.
Du
côté de Dark, Anthony E. Zuiker nous dresse le portrait d’un homme torturé par
la vie mais qui essaie de se reprendre en main grâce notamment à sa femme. C’est
un personnage que j’ai trouvé attachant mais qui est coiffé au poteau par la
personnalité explosive de Sqweegel.
L’histoire
en revanche, nous prend aux tripes grâce à la plume très prenante de l’auteur. Ce
style incisif fait mouche, surtout lorsque des dessins nous sont subtilement
glissé entre les pages. Pareil pour les vidéos qu’il est possible de visionner
mais que je n’ai personnellement pas eu l’occasion de faire tant j’étais prise
dans ma lecture. D’après ce que j’ai pu voir, cela donne une nouvelle dimension
au roman avec une interactivité intéressante.
Je
reprends donc mon souffle pendant quelques semaines le temps de me remettre de
mes émotions pour savourer de plus belle le tome 2 le moment venu.
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